Après les paysages grandioses de la "Nouvelle-Zélande du Milieu", nous prenons le chemin du retour en nous dirigeant vers la côte Est de l'île du Sud.
Après un très bref passage dans Christchurch, dont le centre-ville est encore complètement sinistré suite au récent tremblement de terre du début du mois, nous remontons vers le Nord : direction Kaikoura.
Kaikoura, c'est un peu comme Puerto Madryn en Argentine, un endroit réputé pour l'observation de la faune marine.
Pour notre dernière étape en Nouvelle-Zélande, on s'est donc offert une dernière grande bouffée d'air marin dans une région magnifique, où les otaries vous guettent depuis le parking de la plage.
Pour couronner le tout, on trouve des petites caravanes qui vendent fruits de mer et crustacés grillés à deux pas des bateaux qui les ont pêchés, le craquage pour une superbe langouste était inévitable... et visez un peu la vue !
Mais Kaikoura est surtout fameux pour l'observation des baleines, nombreuses dans la région. Mieux, ce ne sont pas n'importe quels cétacés que nous pouvons observer, mais bien des cachalots, un des mamiffères les plus fascinants pour moi. En effet, ces bestioles sont fréquentes ici, car un énorme canyon sous-marin longe la côte.Notre petite frustration de ne pas avoir pu en voir en Argentine a donc été comblée ici, et de quelle manière...
L'organisation du tour, évidemment parfaite, nous a permis grâce à un gros bateau équipé de micros sous-marin d'aller traquer la bête. En chemin, éclate totale avec dauphins et colonies d'albatros planant au ras des vagues. Les photos ne permettent pas de s'en rendre compte, mais ces oiseaux-là sont vraiment énormes, dans les 1,50 à 2m d'envergure peut-être.
Et puis nous les avons vus, les "sperm whale" comme on dit ici. Ça a été un moment assez inoubliable cette rencontre avec 3 Moby Dick (pour la bonne vingtaine de personnes malades de se faire secouer par les grosses vagues aussi...).
Pour ceux qui ont déjà eu la chance de voir des baleines, notez que celles-là ne sautent malheureusement pas hors de l'eau, et respirent par le devant de la tête.
S'il y a des intéressés, l'excellent article de wikipedia explique bien leur fabuleuse physiologie, qui permet de rester 90 mn sous l'eau, et de plonger jusqu'à 3000m. C'est simplement le plus grand animal carnivore du monde, et vous avez compris qu'il ma fascine particulièrement.
Trêve de discours, place aux image, malheureusement moins impressionnantes que la réalité. La bestiole reste au minimum 30 min sous l'eau, mais seulement 5 à la surface, donc pas facile à chopper.
Remis de nos émotions (et un peu du mal de mer), nous reprenons la route vers Christchurch, où nous devons nous séparer avec regret de notre cher Pacman.
Petite escale en bord de mer, où nous trouvons une curieuse "nurserie de bébé phoques". Oui, ça existe, et sans aucune intervention humaine en plus. Il s'agit d'un bassin situé sous une chutte d'eau en forêt, non loin du rivage, où les mères laissent leur progéniture avant de partir pour leur journée de pêche.
On s'est retrouvés devant une piscine où des dizaines de bébés phoques jouaient ensemble. Séquence "trooooooop mignonnnnnnnnn les filles" :
Sur la route, une prise de conscience terrible nous inquiète : après la Nouvelle-Zélande, c'est l'Asie, fini les bodegas ! Qu'à celà ne tienne, la route du retour est parsemée de superbes petites vignes, et nous ferons quelques utlimes petites visites avant de nous serrer la ceinture pendant les mois qui viennent :
Ayant abandonné notre van à Christchurch, nous retournons à Auckland par un court vol interne, et passons notre dernière journée dans ce beau pays à visiter une île voisine de la capitale économique. Une belle fin de séjour entre littoral et demeures super-design pour week-ends de riches financiers.
Que penser de cette étape en Nouvelle-Zélande ?
Assurément une transition entre Amérique Latine et Asie, on appréhendait pas mal les températures, mais finalement ce pays nous a plutôt charmés.
Évidemment, le dépaysement n'est pas le même pour d'autres destinations plus exotiques, mais le fait d'avoir voyagé en van nous a permis de découvrir avec une grande liberté un très beau pays, peuplé de gens très agréables. On a vraiment passé de bons moments.
Place à l'acte II : une plongée la tête la première dans le continent asiatique, un géant fascinant.
Après un très bref passage dans Christchurch, dont le centre-ville est encore complètement sinistré suite au récent tremblement de terre du début du mois, nous remontons vers le Nord : direction Kaikoura.
Kaikoura, c'est un peu comme Puerto Madryn en Argentine, un endroit réputé pour l'observation de la faune marine.
Pour notre dernière étape en Nouvelle-Zélande, on s'est donc offert une dernière grande bouffée d'air marin dans une région magnifique, où les otaries vous guettent depuis le parking de la plage.
Pour couronner le tout, on trouve des petites caravanes qui vendent fruits de mer et crustacés grillés à deux pas des bateaux qui les ont pêchés, le craquage pour une superbe langouste était inévitable... et visez un peu la vue !
Mais Kaikoura est surtout fameux pour l'observation des baleines, nombreuses dans la région. Mieux, ce ne sont pas n'importe quels cétacés que nous pouvons observer, mais bien des cachalots, un des mamiffères les plus fascinants pour moi. En effet, ces bestioles sont fréquentes ici, car un énorme canyon sous-marin longe la côte.Notre petite frustration de ne pas avoir pu en voir en Argentine a donc été comblée ici, et de quelle manière...
L'organisation du tour, évidemment parfaite, nous a permis grâce à un gros bateau équipé de micros sous-marin d'aller traquer la bête. En chemin, éclate totale avec dauphins et colonies d'albatros planant au ras des vagues. Les photos ne permettent pas de s'en rendre compte, mais ces oiseaux-là sont vraiment énormes, dans les 1,50 à 2m d'envergure peut-être.
Et puis nous les avons vus, les "sperm whale" comme on dit ici. Ça a été un moment assez inoubliable cette rencontre avec 3 Moby Dick (pour la bonne vingtaine de personnes malades de se faire secouer par les grosses vagues aussi...).
Pour ceux qui ont déjà eu la chance de voir des baleines, notez que celles-là ne sautent malheureusement pas hors de l'eau, et respirent par le devant de la tête.
S'il y a des intéressés, l'excellent article de wikipedia explique bien leur fabuleuse physiologie, qui permet de rester 90 mn sous l'eau, et de plonger jusqu'à 3000m. C'est simplement le plus grand animal carnivore du monde, et vous avez compris qu'il ma fascine particulièrement.
Trêve de discours, place aux image, malheureusement moins impressionnantes que la réalité. La bestiole reste au minimum 30 min sous l'eau, mais seulement 5 à la surface, donc pas facile à chopper.
Remis de nos émotions (et un peu du mal de mer), nous reprenons la route vers Christchurch, où nous devons nous séparer avec regret de notre cher Pacman.
Petite escale en bord de mer, où nous trouvons une curieuse "nurserie de bébé phoques". Oui, ça existe, et sans aucune intervention humaine en plus. Il s'agit d'un bassin situé sous une chutte d'eau en forêt, non loin du rivage, où les mères laissent leur progéniture avant de partir pour leur journée de pêche.
On s'est retrouvés devant une piscine où des dizaines de bébés phoques jouaient ensemble. Séquence "trooooooop mignonnnnnnnnn les filles" :
Sur la route, une prise de conscience terrible nous inquiète : après la Nouvelle-Zélande, c'est l'Asie, fini les bodegas ! Qu'à celà ne tienne, la route du retour est parsemée de superbes petites vignes, et nous ferons quelques utlimes petites visites avant de nous serrer la ceinture pendant les mois qui viennent :
Ayant abandonné notre van à Christchurch, nous retournons à Auckland par un court vol interne, et passons notre dernière journée dans ce beau pays à visiter une île voisine de la capitale économique. Une belle fin de séjour entre littoral et demeures super-design pour week-ends de riches financiers.
Que penser de cette étape en Nouvelle-Zélande ?
Assurément une transition entre Amérique Latine et Asie, on appréhendait pas mal les températures, mais finalement ce pays nous a plutôt charmés.
Évidemment, le dépaysement n'est pas le même pour d'autres destinations plus exotiques, mais le fait d'avoir voyagé en van nous a permis de découvrir avec une grande liberté un très beau pays, peuplé de gens très agréables. On a vraiment passé de bons moments.
Place à l'acte II : une plongée la tête la première dans le continent asiatique, un géant fascinant.
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