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mardi 14 juin 2011

Nazca : on se fait une petite ligne ?


Arrivés à Nazca de bon matin, nous trouvons une petite auberge sympathique et partons prendre un petit déjeuner. Visite ensuite au centre Maria Reich (Cf. Article suivant), qui ne nous laissera pas indemne. Maria Reich est une mathématicienne allemande qui a passé près de 40 ans de sa vie à étudier les fameuses « lignes de Nazca », ces grandes figures géométriques tracées dans le désert il y a plusieurs siècles par la civilisation du même nom. Etants venus dans cette région pour les voir, il nous fallait un minimum d’explication avant de découvrir les lignes en vrai, et on n’a pas été déçus du voyage…




Nous poursuivons par un autre musée, édifié suite aux recherches menées par plusieurs expéditions italiennes. Nous sommes absolument seuls pour cette visite, ce qui ne nous dérange aucunement, au contraire… Joli musée, avec beaucoup de renseignements sur les multiples découvertes de la région, mais les explications étaient très techniques, beaucoup trop pour nous (« La parcelle numérotée X83 contenait 4 fragments de céramique datées de la période pré-Nazca formative… »).







Ce n’est que le lendemain que nous embarquons à bord d’un petit Cesna pour aller admirer les fameuses lignes de plus haut. En effet, bien qu’elles aient été dessinées il y a plusieurs siècles, on ne peut les voir vraiment que depuis le ciel.

1ère impression, ça secoue bien comme il faut (le souvenir d’un survol du Grand Canyon il y a 15 ans refait surface). Admirer les lignes depuis le ciel, ça se mérite, et touriste bulgare assise à côté de moi passera la moitié du vol la tête dans le sac…





Vidéos à venir, dès qu’on trouvera un accès correct (et bon marché !) en Nouvelle Zélande, où nous nous trouvons actuellement (bouh, le retard !)


2ème impression : même si on pensait voir les lignes plus nettement, ça reste quand même impressionnant, et on se demande toujours pourquoi diable cette civilisation est allée dessiner de telles figures qu’eux-mêmes ne pouvaient pas voir?








 Si vous regardez bien celle-là, on voit nettement l'ombre de notre coucou projetée sur le sol désertique, ce qui nous donne 2 indications sur les conditins de vol :
1 : oui, on volait vraiment bas
2 : Oui, le pilote nous penchait presque à 90° pour nous faire profiter de la vue (et mettre notre estomac à dure épreuve aussi...)

C’est assez beau, et ça restera un beau moment, même si certaines ont mis un peu de temps à s’en remettre.


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